Veille Hebdomadaire du 21 au 25 février #SantéGuyane – COVID19/Sarcome/PromotionDeLaSante
Veille d’information hebdomadaire de l’ORSG-CRISMS
Du 21 au 25 février 2022
Participez au séminaire « Les compétences psycho-sociales, de la théorie à la pratique en Guyane »
« Guyane Promo Santé et l’ARS Guyane vous invitent à participer au séminaire : Les compétences psycho-sociales, de la théorie à la pratique en Guyane
Lundi 14 mars 2022 de 8h à 17h à l’Hôtel Royal Amazonia Cayenne. » [Extrait site web]
Guyane Promo Santé (consulté le 22 février 2022)
Covid-19 : la HAS rend trois nouveaux avis pour actualiser la stratégie de lutte contre le virus
« Alors que le nombre d’infections par le SARS-CoV-2 reste à un niveau élevé mais diminue fortement depuis quelques semaines, la HAS publie trois nouveaux avis pour actualiser la stratégie de lutte contre le virus. Ainsi, elle affine la place du vaccin Janssen dans le contexte des dernières données EPI-PHARE ; elle rend un nouvel avis sur la place des tests antigéniques rapides sur prélèvement salivaire dans le dépistage de l’infection ; enfin, elle se prononce sur l’autorisation d’accès précoce post-AMM pour le Ronapreve® dans le traitement curatif des patients à risque de forme sévère de la maladie. » [Résumé site web]
HAS (consulté le 22 février 2022)
Recours à la vaccination contre le Covid- 19 : de fortes disparités sociales
« La Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) publie une étude sur les inégalités sociales quant au recours à la vaccination contre le Covid-19. Ce constat est révélé à partir des données issues du troisième volet de l’enquête Épidémiologie et conditions de vie (EpiCov) élaborée par l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) et la DREES. » [Résumé site web]
DREES (consulté le 24 février 2022)
« Les données sur le sarcome de Kaposi en Guyane française sont rares et obsolètes. Ce territoire présente des caractéristiques épidémiologiques uniques.
Les objectifs de cette étude rétrospective étaient d’analyser les caractéristiques cliniques, le devenir et l’incidence des différentes formes de sarcome de Kaposi chez les patients diagnostiqués entre 1969 et 2019.
La population étudiée comprenait un total de 52 patients. Les formes cliniques comprenaient le sarcome de Kaposi épidémique (n=30), endémique (n=18), iatrogène (n=2), classique (n=1) et le sarcome de Kaposi non classé (n=1). Le taux d’incidence annuel moyen du Kaposi épidémique a atteint un pic dans les années 1990 (0,93/100 000) puis a diminué dans les années 2000 (0,33/100 000), tandis que l’incidence du sarcome de Kaposi endémique a atteint un pic dans les années 1980 (0,82/100 000) avant de diminuer dans les années 2000 (0,12/100 000).
Les facteurs associés à la forme épidémique étaient : les rapports sexuels entre hommes (p=0,0054) et l’origine haïtienne (p=0,035). La présence de nodules et/ou de tumeur, des lésions limitées aux membres inférieurs et un âge >65 ans étaient associés à la forme endémique.
Si les populations créoles semblent aussi touchées par le sarcome de Kaposi endémique que leurs homologues africaines, la dynamique du sarcome de Kaposi en Guyane française est désormais dominée par la forme épidémique. » [Résumé site web – traduit avec www.DeepL.com/Translator]
PubMed (consulté le 25 février 2022)