Veille Hebdomadaire du 6 au 10 décembre #SantéGuyane – Alimentation/DémographieMédicale/Prévention/CoopérationTransfrontalière
Veille d’information hebdomadaire de l’ORSG-CRISMS
Veille du 6 au 10 décembre 2021
Alimentation en Guyane : Souveraineté et sécurité alimentaire des familles du Haut Maroni
« Nous débutons une série de publications sur l’alimentation en Guyane par la présentation des travaux de recherche menés par John Adams du Parc Amazonien de Guyane (PAG) lors de son stage de fin d’étude intitulé : « Souveraineté et sécurité alimentaire des familles du Haut Maroni ». » [Résumé site web]
Guyane Promo Santé (consulté le 9 décembre 2021)
« Depuis une vingtaine d’années, la référence de plus en plus fréquente aux « déserts médicaux » dans les médias et le débat public traduit la préoccupation croissante de la population concernant l’accessibilité géographique aux soins de médecins. Même si ce terme recouvre une réalité qu’il est difficile d’objectiver, il est indéniable que l’évolution de la démographie médicale en France, notamment pour la médecine générale, a accru les tensions dans les territoires qui étaient déjà les moins bien desservis. Dans les prochaines années, alors que le vieillissement de la population entraînera une augmentation des besoins de soins, les projections laissent augurer une diminution de l’offre médicale en médecine de ville, surtout en soins primaires. Ces tendances risquent de dégrader encore l’accessibilité dans les zones les moins attractives.
La situation de la France n’est pas unique. La répartition géographique des effectifs médicaux est inégale dans tous les pays, à des degrés divers. Partout, l’accès aux services de santé est plus difficile à assurer dans certains territoires, tels que les zones rurales, notamment éloignées ou isolées, ou les zones urbaines défavorisées. Répondre aux besoins sur l’ensemble du territoire et mieux équilibrer la distribution de l’offre sont des préoccupations largement partagées, dont plusieurs rapports internationaux se sont fait l’écho dans les années récentes (respectivement des rapports de l’Organisation mondiale de la santé [OMS], de l’Organisation de coopération et de développement économiques [OCDE] et de la Commission européenne). Pour remédier à ces difficultés, des stratégies variées ont été déployées au cours des dernières décennies. L’objectif de ce Dossier de la DREES est, à partir d’une analyse de la littérature internationale, de décrire ces politiques, de rassembler les éléments d’évaluation de leurs impacts et de dégager quelques réflexions pour alimenter le débat sur la situation française. Ce dossier comporte également un état des lieux des préférences des médecins dans leur choix d’installation et des principaux déterminants de leur installation et de leur maintien sur leur lieu d’exercice, autant de leviers potentiels pour l’action publique. » [Résumé site web]
DREES (consulté le 9 décembre 2021)
Guyane : Une collaboration sanitaire avec le Suriname voisin à l’étude
« À l’image des récents échanges entre la Guyane et le Brésil, une délégation de soignants guyanais et de membres de l’Agence Régionale de Santé (ARS), notamment sa directrice Clara De Bort, s’est rendue au Suriname à Paramaribo, où elle a pu visiter les services de l’hôpital académique de Paramaribo (AZP), mais aussi rencontrer plusieurs représentants, dont le directeur de la Santé du Suriname, Rakesh Gajadar Sukul. L’occasion d’aborder plusieurs questions autour des systèmes de soins respectifs des deux territoires afin d’envisager de potentielles collaborations. » [Résumé site web]
Outremer360 (consulté le 9 décembre 2021)
« Dix ans après la parution d’un premier rapport de la Cour des comptes consacré à la prévention sanitaire, l’évaluation publiée ce jour réexamine la prévention à travers le cas de trois grandes familles de pathologies :
- les cancers,
- les maladies neurocardio-vasculaires ou NCV,
- le diabète.
En mesurant l’impact des politiques de prévention menées en France, la Cour a pu constater que les résultats obtenus sont globalement médiocres, et ce, malgré un effort financier comparable à celui des pays voisins.
Pour contribuer à renforcer l’efficacité de ces politiques, ce rapport livre une série de recommandations formulées autour de quatre orientations :
- la déclinaison opérationnelle de ce renforcement,
- la lutte contre les facteurs de risques,
- la transformation des pratiques professionnelles en matière de prévention,
- l’optimisation de l’utilisation du numérique. » [Résumé site web]
Vie publique (consulté le 6 décembre 2021)